•  

     

    Fatiguée et énervée pour maintes raisons,
    Au cours d'une longue et profonde réflexion.
    Cette question.

    Que ferais-je,
    si J'étais MOI?

    À cette troublante demande, je cherchai une réponse.

     

     

     

    Si j'étais moi, alors je hurlerais à pleins poumons...

    Si j'étais moi, j'aurais des conversations intéressantes...
    Si j'étais moi, je rencontrerais une foule de personnes sympathiques...

    Si j'étais moi, je serais heureuse...
    Si j'étais moi, je courerais tous les soirs, je sortirerais mon appareil photo quand j'en ai envie...

    Si j'étais moi, j'irais découvrir le monde...
    Si j'étais moi, je ne laisserais pas mes amis s'échapper...
    Si j'étais moi, je ne serais pas envahie pas ce vent de haine...

    Si j'étais moi...
    Je serais
    .

    Etrangère à ma vie. Depuis toujours. Chaque occasion de ma vie, je l'ai perdue. Perdue par peur. Peur de ce regard. Peur des autres. Peur de perdre. Peur de souffrir. Peur de prendre des risques. Peur de vivre.

    Quand viendra ce jour où je serais moi?

    OUI, je veux hurler, mais je ne peux pas... je ne sais même pas pourquoi. Je ne comprends plus rien, pourquoi mon coeur est en crise... J'ai besoin d'air, besoin de respirer... Besoin de nouveauté. Est-ce un cri de malheur? ou de bonheur?

    Certaines veulent trouver l'homme de leurs rêves... Est-ce un paradoxe si je veux retrouver celle dont je rêvais d'être...

     

    Ma vie est un rêve... je l'ai compris quand celle-ci s'est transformée en cauchemar.

     


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  • Allongée dans l'herbe...
    Assise sur le sable...
    Couchée sur le béton...
    Seulement accompagnée de l'air du vent, de l'odeur de la mer, ou de "Wilson"...

    J'aime fermer les yeux...
    Et que le monde disparaisse...

    Que tout disparaisse... comme si ma vie n'était qu'un rêve, que tout n'était que fiction... J'espère qu'en ouvrant les yeux, le monde aura changé... Comme si rien de tout cela ne c'était passé... Les yeux fermés... L'impression d'être dans un autre monde...

    J'aime ma vodka du soir, et l'odeur du kérosène...

    Parce que j'ai l'impression d'avoir mis un pied dans un cauchemar.. interminable... et l'autre planté dans un rêve d'espoir... Mon coeur se mets à battre de stress et de frustration... et la seconde suivante sombre de fatique et d'épuisement...

    Je ne comprends plus rien... je cherche des réponses... Rien est acquis... je devrais le savoir depuis le temps... Les choses arrivent toujours au moment où on l'attend le moins...

    1 chance sur un milliard... On est vraiment des Charlot avec nos probabilités... Pourquoi pas Elle? pourquoi pas Lui? pourquoi pas Moi?

    Tu peux gagner ce monde que tu désires tant...

    Alors quand ce poids devient trop lourd à porter, l'angoisse trop intense, le bonheur trop éloigné...

    JE FERME LES YEUX ET LE MONDE DISPARAIT

     


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  • Dialogue entre deux fous du même monde...

    entre une jeune fille perdue et un koala excentrique...

     

    Tu vois mon pauvre Pupun, on se retrouve encore tous seuls, tous les deux... Abandonnés dans ce monde de fous...

    Mais voyons... qui se cache derrière l'appareil? C'est LUI!! Enfin, c'était... lui...

    Pun, sommes-nous vraiment abandonnés? Ou est-ce nous qui L'avons abandonné?

    C'est le moment de serrer les points... De se forger un peu le caractère... De prendre des initiatives... Pourquoi tu ne m'as pas réveiller plus tôt Pupun? Hein? Fallait-il vraiment que l'on ne comprenne que maintenant la gravité de la situation?

    **

    "Dans le creux de sa main miniature, flottait une lueur terne d'impuissance. Son coeur déchiré cherchait la solution désespérée, et son esprit fluctuait entre la folie et la sagesse. Le temps est parfois un terrible adversaire."

    **

    Innocente jeunesse, où es-tu passée?

     

    Il était un temps où les koalas et les jeunes filles pensaient naïvement que ce monde respirait la bonté et l'espoir, même dans le coeur le plus corrompu de l'humanité...

     


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  •  

    Des rêves pleins la tête
    On espère...
    On y croit...

    On se forge des buts dans l'espoir qu'ils rendront notre existence plus vivante et plus sensée.

    On invente des personnes excentriques pour être moins seul.

    Des rêves pleins la tête... Un ouragan de questions, de doutes, qui fait ce que nous sommes.

    Parfois c'est ce que l'on redoute le plus qui arrive... Cette fatalitié qui amène le hazard et la chance à nous jouer des tours...

     

    En espérant que ça va passer... Parce que mes rêves ne demandent que ça. Ils ont besoin d'être réalisés.

    ****************************************************************************

    Un instant de ciel azur dans un champs de champignons...

    Un ballon de baudruche s'envollant très haut, très loin dans la vôute ensolleilée...

    Je l'ai laché..

     

    Lien vers l'image : ici


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  • Pensive... Haineuse... Triste...

    ou juste PERDUE

    et cependant, DETERMINEE?

    C'est toujours quand on décide de vivre que le hazard nous rappelle la monotonie de notre vie... Quand on décide d'être heureux que ce fatal destin et cette fichue mal-chance se fait sentir...

    Quand on décide d'être vraiment sois-même, comme me l'avait dit un certain prof de musique... 

    Quand on décide que demain sera une bonne journée, comme le dit Tenma...

    Quand on décide de vivre chaque jour comme le dernier, phrase de mon enfance...

    C'est alors que reviens toutes ces idioties d'adultes. Ah! Ils se croivent si grands, si intelligents, si compréhensifs... Ils ont toujours raison. Pour être honnète, ils ne sont pas les seuls. Les ados aussi. Mais eux, ils se posent des questions : ils accordent le doute. Néanmoins, voyant l'attitude nos ainés de quelques décennies, il n'est pas étonnant que certains d'entre nous finissent par abandonner... Passer du côté obscure de la force.

    *

    Et c'est de cette façon, que l'on reçoit un coup de coude qui révèle une douleur passée, qu'une amie se fait voler son sac et d'autres effets personnels, que la coloc d'une amie s'en va, la laissant seule et triste.

    C'est en s'exprimant, en disant ce que l'on pense vraiment, vous voyez, dans ce monde, quand on sort de cette hypocrisie ambiante, on se fait tout de suite cataloguer de susceptible. Pourquoi? Eh bien parce que l'on pense aux autres. Et aux promesses non tenues de certains. Juste parce que l'on veux dire ce que l'on a sur le coeur.

    C'est en commettant une toute petite erreur de parcours, si rare, que cela devient une catastrophe : le mauvais jour, le mauvais moment. Parce qu'il a piqué une crise, parce qu'on a été honnête, voila que l'on nous prédit que tous les internes vont être punis. Est-ce vraiment ma faute, si je ne comprends pas pourquoi cette absurde décision condamne des innocents?

    C'est en aimant, c'est en gardant caché un intenable et dissimulé manque au fond du coeur, que certains jouent avec, cherchent à blesser pour faire accomplir leur volonté, ou tout simplement pour faire souffrir sans raison.

    Et c'est ainsi que tout un élan de haine me rempli le coeur, et je me force à penser que le monde n'est pas si mauvais... Si seulement vous ouvriez les yeux : arriverez-vous donc un jour à remettre en question ce fonctionnement si absurde? Ils sont si sûrs d'eux...

    Pourquoi vivre dans un tel monde d'hypocrisie, de mensonges? Faut-il toujours que la bétise des autres nous gâche la vie?

    Ce fut une funèbre journée. Une sale, nauséabonde, et pauvre journée. Mais vous êtes là. À dessiner des petits Punkos partout. À rentrer dans mes délires, aussi absurdes qu'ils soient. À partager mes passions et à être attentifs, malgré vos propres malheurs. Vous êtes aussi présents, tous simplement.

     

    .............Elle me tend la main.........
    Vis chaque jour comme le dernier.

    Son bras creusé par la souffrance, brûlé par le mensonge...
    Sois toujours toi-même.

    Dégoulinant d'un sang coagulant et répugnant... 
    Demain sera une bonne journée.

    Expolsant de méchanceté et d'imcompréhension...
    Et n'attend surtout pas d'aller rejoindre les chrisanthèmes!!

     

    La haine, de son sourire arrogant tente d'infiltrer mon coeur... 

    Mais...

    JE NE CAPITULE PAS!

     

    jamais...

     

    On l'aura le bonheur, mon bon vieux Bonzo... Mon petit Cabot... Il suffit d'y croire...


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