Il était une fois, une jeune fille nommée Peyton. Elle n'a pas eu une enfance heureuse. Elle a pris l'habitude de rester seule face à ses problèmes quand elle en a. Elle a pris l'habitude de montrer une face gaie et brillante au monde, et de garder la lumière de ses larmes pour l'obscurité de sa chambre.

Avec son vieux petit proverbe : "When it's so hard, Not to cry"...

Mais tout ceci, ce n'est qu'un tissu de conneries. Retenir ses larmes, ça ne sert qu'à les faire jaïr avec beaucoup plus de force la fois suivante. C'est comme la nourriture ; tu t'en passes pendant quelques jours, et puis après, ton ventre en réclame beaucoup plus, et tu ingurgites tout ce que tu trouves sur ton passage. Le seule résultat de garder tout pour sois, c'est de faire tout ressortir d'un coup, violemment, et de ne pas pouvoir se contrôler... et se retrouver perdu dans un tourbillon sans fin... et alors, cette fin, on la veut plus que tout.

Un tissu de conneries... que notre chère Peyton ne fais qu'exécuter... ainsi que d'autres personnes du monde réel. Ainsi que certains, et surtout certaines personnes qui me sont chers... ainsi que moi. Et c'est pour ça que je ne peux rien leur reprocher. C'est facheux... mais c'est comme ça. C'est la vie.

Keith a dit à Whitney : "Je sais que vous cherchez un sens à tout ça, mais personne peut vous en donner, parce qu’en réalité, il n’y en a aucun. Tout ce qu’on a, c’est la vie."

oth n°317